Trois riches chefs d'entreprise se réunissent pour leur partie de chasse annuelle dans le désert, mais l'un d'eux, Richard (Kevin Janssens), arrive quelques jours à l'avance avec sa maîtresse, Jennifer (Matilda Lutz). Ses partenaires Stan (Vincent Colombe) et Dimitri (Guillaume Bouchède) le rejoignent de façon impromptue, et ce qui s'annonçait comme une escapade idyllique prend rapidement une tournure infernale, la partie de chasse se transformant en chasse à l'homme baignée de sang.   

‘’Pour son tout premier film, la réalisatrice française Coralie Fargeat plonge à fond dans le cinéma de genre, avec un thriller gore dont elle maîtrise habilement les codes. Rappelant par moments des films comme Kill Bill et Mad Max, Revenge est efficace et visuellement réussi, faisant contraster les sublimes panoramas du désert ocre, personnage en soi, et une esthétique pop aux couleurs acidulées. (...) Oui, il y a (beaucoup) de sang et de violence dans Revenge, comme le veut tout bon film gore; un côté excessif pleinement assumé qui s'affranchit de toute volonté de réalisme dans cette cavale infernale aux accents fantasmagoriques, et même parfois poétiques.’’  

- La Presse

_____

Jen (Matilda Lutz) is enjoying a romantic getaway with her wealthy boyfriend (Kevin Janssens) -- until his two sleazy friends (Vincent Colombe and Guillaume Bouchède) arrive for an unannounced hunting trip. As tension mounts in the house, the situation abruptly and viciously intensifies, culminating in a shocking act that leaves Jen left for dead. Unfortunately for her assailants, she survives and soon begins a relentless quest for bloody revenge.  

‘’There’s no more treacherous horror subgenre than the rape-revenge thriller, because the worst examples confuse exploitation for empowerment, answering graphic scenes of sexual assault with a gruesome parade of righteous kills. The small miracle of “Revenge,” an exceptionally potent and sure-handed first feature by French writer-director Coralie Fargeat, is that it adheres to the formula yet feels invigorating and new, a stylistic tour-de-force that also tweaks the sexual politics in meaningful ways.(...) “Revenge” is pure violent fantasy, a nasty entertainment primed to rouse the self-selected few with the stomachs to handle it. Its editorial agenda is less apparent but there for the taking.’’

- Variety